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🌈🌈🌈 Portrait de Vincent Munoz , originaire de l’Isère, passionné de cheval depuis des années



👉 Il est coach de Dana Ide d’Hurl’vent et Isaure et a eu 2 poulinières d’Hurl’vent : Qualinka d’Hurl’vent et Théa d’Hurl’vent.

👉 Après une première expérience dans le judo de haut niveau, et suite à une blessure au genou, Vincent s’investit à fond dans l’équitation à 17 ans.

👉 « J’ai attaqué sérieusement l’équitation un peu sur le tard, mais mon expérience dans le Judo m’a aidé à progresser rapidement. Le judo m’avait apporté la rigueur de travail. J’ai donc attaqué l’équitation en pratiquant beaucoup (plusieurs heures par semaine), tout en sachant que le chemin allait être long. J’avais de bonnes notions d’équilibre et de l’endurance. Ça m’a également bien aidé à trouver ma place sur un cheval et à tenir le choc sur de longs cross ». 👉 Vincent veut en faire son métier. Il comprend rapidement que travailler dans les chevaux est chronophage et qu’il n’y fera pas fortune. « Je me suis dit que, tant qu’à bosser comme un fou pour ne pas gagner grand-chose, autant être mon propre patron ». 👉 A 17 ans, il fait une école d’équitation à Mornand en forez et monte en parallèle au poney club de Montagnieu « Le Manège Enchanté ». Puis il y enchaine un BTS Production animal, valorisation du jeune cheval tout en étant en apprentissage chez Tit et Manu au Centre Équestre de La Roche. 👉 « Chez Tit entre 2006 et 2009, j’ai appris pleins de choses. Le travail et l’entretien des chevaux et le monde « caché » de l’équitation. Tout ce que le client ne voit pas : le relationnel, les critères de choix des chevaux ... Il m’a surtout donné gout à l’élevage ». 👉 Vincent passe son monitorat puis s’installe comme prévu en 2011 à Le passage 38490 (proximité de la Tour du Pin) dans une vieille ferme où « il n’y avait que des vaches ». 10 ans après, le club compte 120 licenciés, 17 pensions propriétaires pour un total de 35 boxes, une carrière (50*60), un manège (21*40), des paddocks pour tout le monde et 12 hectares pour l’élevage... « Je fais construire 20 boxes de plus pour Septembre, un club house pour Décembre et un manège 30*70 pour 2022 » ajoute Vincent.


👉 Elodie Gandy (compagne de Vincent), se consacre principalement aux petits en faisant beaucoup d’éveil, du ludique et de l’équitation de loisir jusqu’au galop 3. « Elle les aime tellement qu’elle a du mal à lâcher quand ils progressent ». Marléne RondePierre, notre DE, fait principalement les cours pour les niveaux supérieurs pour le club et les cours spécifiques dressage.

👉 Ce que préfère Vincent, c’est s’occuper de ses propriétaires et de son équipe compétition : une quinzaine d’enfants propriétaires et locataires de poneys qui sortent en concours de la P2 jusqu’en As1.

👉 « Ça me plait, j’aime aller en concours, j’aime l’ambiance, j’aime voir le travail de la semaine payer le week-end. J’aime faire plaisir aux enfants et aux parents ».

👉 Vincent est un coach plutôt détendu et rassurant. Très exigeant la semaine sur la position « la base de l’équitation et des performances », en concours il répète à ses cavaliers (et aux parents) que l’objectif n’est pas de faire le meilleur temps, mais d’être sans faute en montant bien : « Simplement bien demander ce que l’on sait faire ... et ça paie ».

👉 Quand on interroge Vincent sur ce qu’est pour lui un bon poney de concours, il nous confie :

👉 « Lorsqu’un de mes cavaliers souhaite franchir le pas et devenir propriétaire, j’aime faire un bilan. Bien connaitre le cavalier et ses ambitions, le budget des parents... même si ça prend du temps (parfois 6 mois). Ensuite, en fonction, je fais un premier tri au téléphone avec mon réseau, puis nous allons essayer ».

👉 Pour se décider, Vincent donne beaucoup d’importance au sentiment de l’enfant sur le poney. « Je pense qu’il vaut mieux acheter un bon poney sur lequel l’enfant se sent bien, qu’il adore et qu’il veut travailler, qu’un excellent poney que l’enfant n’aime pas trop. C’est important que l’enfant me donne ses préférences ... Un couple poney cavalier se construit sur la technique mais surtout sur l’envie d’avancer ensemble ».

👉 Vincent ajoute : « Tous les poneys sont bien, il n’y a pas de bons ou de mauvais chevaux. Il faut seulement apprendre à exploiter leurs qualités. Dans mes écuries, je n’ai pas de client avec un budget illimité. Donc je fais avec des budgets raisonnables et je compense par le travail et la passion de chacun ».

👉 Pour cela, Vincent fait beaucoup de mise en selle, du travail de mécanisation dans des lignes, et préfère faire sauter ses cavaliers en cours particuliers pour être le plus disponible possible. Il transmet rapidement à ses élèves la notion du relâchement et travaille régulièrement lui-même les poneys sur le plat en parallèle.

👉 Selon lui, un cavalier a toutes les chances de réussir si « il est assidu et patient, s’il reste investi malgré les difficultés. Lidie Karoutchi, cavalière de dressage et coach intervenant à Indica affirme : la progressions est labyrinthe, quand on avance sur un mauvais chemin, l’intelligence est de savoir reculer pour en prendre un nouveau »

👉 Vincent est « inspiré » par le travail de Jean à l’élevage d’Hurl’vent « Jean est un visionnaire, il avait compris avant les autres comment allait évoluer l’élevage poney. C’est pour moi le meilleur élevage de France, ses choix d’étalon sont bons, ses croisements réussis. »

👉 Vincent apprécie travailler avec les poneys d’Hurl’vent. « Ils sont extrêmement qualiteux, des petits chevaux. Très performants, le travail de valorisation mis en place par Jean, tend à les rendre pratiques pour les enfants. Du coup, ils ont tout ! En général les enfants sont motivés pour les travailler (Un Hurl’vent !!!!) et nous aussi du coup ». Vincent rajoute : « L’avantage d’apprendre à un enfant à monter sur un Hurl’vent est qu’il apprend tout de suite les bonnes choses. L’équitation classique, les gestes techniques justes, l’équilibre, la rectitude.... On est loin du tire-pousse de certains autres poneys. »

👉 Le meilleur moment de Vincent à poneys ? « J’ai acheté une petite ponette quand je me suis installé, elle était moche, maigre et ne nous laissait pas approcher. Elle est à la remise des prix des championnat de France tous les ans à Lamotte et nous à même offert un podium ». 👉 Sa principale difficulté en tant que coach compétition poneys ? « Réussir à faire comprendre aux enfants que le classement n’est pas forcément représentatif de la qualité du parcours qu’ils ont fait ». 👉 Tout l’équipe de l’élevage d’Hurl’vent s’enchante de voir la nouvelle génération d’éleveur / compétiteur / coach performer, se tromper, recommencer, s’acharner, et réussir ... En plus d’être éleveurs, Marie-Claude et Jean adorent transmettre. Ils ne comptent pas leur temps (alors qu’ils sont déjà bien occupés) et répondent toute la journée au téléphone pour donner des conseils de sailli, de débourrage, de mise bas, de nutrition ... 👉 Vincent conclue en remerciant Tit et Manue, ainsi que Nathalie et Jean Marie Mougel pour la formation qu’ils lui ont apporté et sans qui "je ne serais pas là aujourd’hui". 👉 Alors si le plus beau cadeau de Vincent est « de voir mes élèves réussir avec mes poneys », le plus beau cadeau de MC et Jean est de voir cette jeune génération prendre le relai. 👉 Bravo Vincent pour ta philosophie, tes convictions, ta force de travail et ta motivation ... Appelle quand tu veux et surtout continue de faire briller tes (et nos) poneys.


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